Le 25/09/2024 par Dany Sarrazin
Bonjour Lou
Je viens de finir de lire Pepo et j’avais envie de partager avec vous,mon ressenti. Dès les premières pages, je me suis vue allongée sur des coussins, devant un feu de cheminée, vous écoutant me raconter l’histoire de Pepo, comme on raconte une fable.
J’aime cette façon d’écrire la vie, la vraie, l’humain, avec ses failles, ses blessures, ses doutes, mais aussi ses joies et ses espoirs.
On sent l’odeur de la terre, on entend le bruit du vent dans les feuilles des arbres , on fait partie de l’histoire.
Merci de m’avoir fait ressurgir, des sensations, des sentiments.
« Chaque page entrait en résonance avec tout ce qui bouillonnait en lui qu’il ne savait pas encore dire «
J’aime les personnes qui transforment les mots en musique .
Je pousse la pierre avec Pepo vers la liberté. Merci.
Mail du 14 mai 2024 !
Bonjour à vous,
J’ai lu votre livre et j’ai découvert un Personnage universel à travers Pepo ! Touchant par son profond silence lié à sa solitude « innée « , par son amour indissoluble au Père, son sens de l’observation du quotidien humble, dépouillé…
J’ai aimé et j’ aime Pepo car Il est tous les Enfants du Monde à lui seul, un puzzle, étonnant de sensations, de couleurs grises et blanches, de paroles rares, d’amis autant que lui à la merci des adultes « choisissant » à la place de : Maître Coq et Rigolo, fidèles et attentifs jusqu’à la mort !
Pepo nous parle car il est mal et tous les enfants du Monde, un jour, une nuit, ont le même mal, la même souffrance de l’ absence, du manque d amour, de l’ injustice et de la violence , des non.dits meurtriers qui laissent trace et blessure à cicatriser sans cesse : l’œuvre d une vie.
Restant Vivant pour Pepo après la mort du Père, la main chaude et ferme d’ Isabella, les années qui passent et ne signifient pas pour autant l’ oubli …impossible..
Seuls, les Départs progressifs permettent le salut provisoire et porteur d une Lumière floue mais salvatrice….seuls, les mots, les Livres, les écrits libèrent , étonnent, apprennent et apportent la vision de portes à ouvrir pour refermer celles, plus lourdes…pas après pas, rencontre après rencontre.
C’ est difficile de « résumer » Pepo. Ne pas le faire. Sans doute, car tout est possible dans sa Destinée . A partir d’une enfance écrabouillée, Pepo a tous les chemins possibles devant lui, avec l’ ombre du passé dans le dos mais le Cœur ouvert à tout.
Pepo, c’ est l’enfant éclaté et sublime de Bonté, de courage et de lucidité.
Cette lucidité qui fait ce qu’elle peut car toute lucidité contient ses propres limites.
Merci pour ce livre .
Vraiment.
Prendre Soin… En effet.
Le Meilleur pour vous , vos écrits, vos photos.
Cordialement et humainement.
Albine.D.D.
Alain Regnault. Blogueur Tête en Noir
j’ai lu Grand comme le monde et je vais être franc avec toi, j’espère que tu ne m’en tiendras pas rigueur…ton roman est… comment dire… magnifique !!! Le style est magnifique, immensément empreint d’introspection, d’un halo poétique et de mots justes au plus juste, tellement que l’on se fait happer et que l’on est immergé de suite dans le monde intensément grand de Pepo. En le lisant lentement car il est dense de sens et inspirant à la fois, j’ai pensé de suite aux ambiances et à la thématique identique d’un Marcus Malte dans Le garçon… dont le style est aussi envoûtant que ton roman… (chez Marcus Malte le garçon ne connait que sa mère)… il en faut. J’aime aussi les cahiers du père, surtout le 8, pensée 81… au plus près de l’émoi…
Lien vers Babelio
Lou Vernet nous offre, une fois encore, un roman atypique. Elle y aborde pourtant encore des thèmes universels : on y parle de deuil et de rédemption, de paternité,et de transmission, de courage et de liberté. Certes Lou nous entraîne d’émotion en émotion, mais elle ne triche jamais, à l’image de Pepo, ce petit homme qu’on aimerait tant prendre par la main.
L’écriture est immersive, percutante. Les personnages ont une âme. Qui sait d’ailleurs si on ne se reconnait pas en eux…
Leur émouvante histoire, chère Lou, vous a-t-elle été transmise par « L’arbre à feuilles »?
Un fait certain, en vous lisant, on a « de la flotte plein les yeux ».
Michèle Lablache, Libraire.